Le serpentaire.*
Le serpentaire est un oiseau aussi appelé secrétaire.
C'est un rapace mais n'a pas l'apparence d'un aigle ou autre oiseau de proie.
Son physique rappelle plutôt celui de l'autruche.
Sa hauteur est de un mètre et l'envergure de ses ailes est de deux mètres.
Son poids est d'environ 4 kg.
Il se tient au sol, il ne vole que pour faire sa parade nuptiale.
Malgré tout, ses ailes sont puissantes.
Ses pattes sont longues et couvertes de plumes jusqu'à l'articulation, on croirait un échassier.
Mais il appartient sans contredit à la famille des faucons.
Il porte sur sa tête une drôle de huppe qui le fait ressembler à un secrétaire.
De là vient son nom.
Le serpentaire se nourrit de lézards et autres petits animaux mais ses principales proies sont les serpents et les couleuvres.
Pour chasser, il se sert de ses pattes fortes et musclées.
Il marche dans la savane et lorsqu'il repère une proie, il la frappe avec ses pattes jusqu'à ce qu'elle meure.
Il l'avale tout rond, sans la mastiquer peu importe sa longueur.
Le Serpentaire, également nommé Ophiuchus, est une constellation de l'hémisphère nord.
Représentant un homme portant un serpent à bout de bras, le Serpentaire divise la constellation du Serpent en deux parties : la tête et la queue.
Mais le serpentaire c'est aussi......... le "13 ème" signe astrologique.
Cependant, il est particulièrement difficile à déterminer en raison de la situation de la constellation du serpentaire entre celle du sagittaire et du scorpion (grosso modo).
Par conséquent, les astrologues ne s'embarrassent pas d'un tel signe.
Et imaginez un peu, il existe déjà un nombre pair de signes avec 4 de feu, d'air, de terre et d'eau, alors un 13 ème dans le lot, ça ferait désordre.
Par conséquent certaines personnes que l'on désigne comme étant scorpions, sagittaires voire balances sont en réalité serpentaires.
De plus, et pour les plus curieux, vous pouvez découvrir ce véritable signe si vous cherchez à le déterminer d'après un zodiaque sidéral et non pas celui qui ne tient pas compte de la précession des équinoxes et qu'utilisent traditionnellement les astrologues.
Mort du général BEAUPUY par BLOCH
BLOCH (Alexandre) Né à Paris en 1860, mort à Paris en 1919. Elève de B. Lepage et de Gérôme.
Récompensé aux Expositions Universelles de 1889 et 1900.
Expose au Salon à plusieurs reprises, participe aux Salons Nantais.
Huile sur toile, 1888 est d'une hauteur de 2m et une largeur 1,60m
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Dans une rue, un violent combat oppose des soldats républicains à des Vendéens.
Tandis que plusieurs soldats ont déjà été tués, d'autres arrivent en renfort par un escaher, ou tirent des coups de feu des fenêtres du premier étage.
Parmi les victimes, au centre, un général républicain s'effondre, mortellement blessé.
La scène fait très probablement référence à un événement survenu le 25 octobre 1793 à Château-Gonthier.
Au cours de ce combat, le général Armand-Michel Bachelier de Beaupuy, qui avait emmené la 1ère brigade en Vendée, fut gravement blessé.
Néanmoins, Alexandre Bloch commet une erreur en présentant son oeuvre au Salon de 1888 sous le titre : "Mort du Général Beaupuy".
En effet, bien que blessé au cours de cet affrontement, le général parvient à rejoindre l'armée à Blain.
Nommé général de Division en 1795, il est tué par un boulet, l'année suivante, à Emmendingen, alors qu'il fait partie de l'armée du Rhin et de la Moselle.
Cette oeuvre démontre que les peintres officiels ont parfois fait des concessions notables à la réalité historique en l'altérant.
L'Orangerie du Puy du Fou
Cet étrange château.*
La Vendée a élu, pour raconter sa longue histoire, un irrécusable témoin le Puy du Fou.
Cet étrange château enveloppé par la nuit, né de choix très anciens devenu des raisons mortes, a su garder au creux de ses murailles, le souvenir jaloux du passé.
Abandonnez-vous à la complainte de ses ruines douloureuses qui nous redisent à peine ce que fut cette demeure avant la renaissance et qui portent la trace des artisans qui l'ont élevée et des soldats qui l'on assaillie.
Laissez-vous bercer par l'étang qui somnole et fredonne sa chanson d'eau.
Suivez l'ombre des arbres dont le péché des hommes à trop souvent trahi la paix.
Ecoutez le silence des chemins creux qui se recueillent pour vous faire confidence de ce qu'ils ont entendu.
Regardez ces bocages mystérieux, retraites impénétrables qui savent de folles amours discrètes et d'odieuses tueries.
Alors vous distinguerez des voix, celle de "Catherine du Puy du Fou", lointaine et mélodieuse, celle de "Charrette", altière, celle de "Clemenceau", puissante et celle de "De Lattre", charmeuse.
Toutes ces pierres mutilées par le temps sortiront de leur nuit et reprendront vie pour un instant.
Les loggias vous diront leurs intriguent et le bassin confiera son mystère.
Et sous les feux des projecteurs, l'histoire de la Vendée vous remontera au cœur, féérique et grandiose.
Le Bourg-Bérard *
A proximité du château, il se forma très vite une agglomération, le Bourg-Bérard.
Le château d u Puy du Fou servit de refuge à la population en cas de danger.
Le personnel attaché au service d u château dut aussi venir grossir le chiffre de la population du Bourg.
Soldats et serviteurs ne pouvaient pas tous trouver place dans l'enceinte du château.
D'après des archives, le Bourg-Bérard existait en 1563, mais il n'aurait plus compris alors que cinq ou six maisons, dont l'une se dénommait l a "Maison Brumault", du nom, sans doute, de celui qui la fit construire et habitation d'un sénéchal ou officier du Puy du Fou.
Plus tard, en 1740, le Bourg-Bérard est également mentionné dans un aveu rendu par Maître Savart.
Mais existait-il encore réellement dans son entier aux dates mentionnées.
Ceci dit, il y a bien eu un Bourg d'une certaine importance à cet endroit.
La tradition veut aussi qu'une importante foire annuelle se soit tenue à proximité.
Pendant cette foire, les marchands, venus un peu de tous les pays, se réunissaient à des dates fixes et y apportaient leurs marchandises en grande quantité.
Les marchandises étaient le plus souvent des produits rares (à l'époque), des étoffes précieuses, des épices, dont on faisait alors le plus grand usage, le poivre en particulier, des parfums, des fourrures.
Ces grands rendez-vous du commerce duraient plusieurs semaines et les acheteurs y venaient par milliers.
Jongleurs et acrobates de tout genre dressaient leurs tréteaux près des boutiques des marchands et se produisaient dans mille tours de leur invention, pour le plus grand amusement des badauds.
Si l'étymologie de "bourg" offre relativement peu de difficultés, il n'en va pas de même du mot "Bérard".
Bérard (on trouve aussi les formes : Bérat, Bérac) est un mot d'origine germanique.
Ce mot pourrait signifier : "ours fort", mais Bérard pourrait être aussi un nom de famille.
Mais alors, qui est ce Bérard ?
Et pourquoi a-t-il donné son nom ou son prénom à l'agglomération blottie auprès du château du Puy du Fou ?
Etait-il le premier chef ou maître de l'endroit ?
A ce jour cela reste toujours un mystère.
Nous n'en savons rien !
Le Mystère de La Pérouse – création originale 2018
En 2018, le Puy du Fou vous invite à prendre le large pour affronter les mers inconnues, aux côtés de l’explorateur La Pérouse.
Vous allez vivre de l’intérieur l’odyssée d’une expédition sans retour :
le mystérieux voyage de La Pérouse !
"Le Mystère de la Pérouse" vous invite à bord de la Boussole, célèbre navire de l’explorateur Jean-François de La Pérouse, pour une expédition sans retour.
Découvrez en coulisses les étapes de la création de ce spectacle hors-norme, sorti de terre en seulement quelques mois …
Avec beaucoup d'émotion et de respect pour cette expédition, partons maintenant vers l'histoire de "Lapérouse" (Reportage Thalassa).