La Veuze ou Vèze
L’étymologie du mot veuze ouvre trois versions :
Du latin "bucinum, bucina" à l’ancien français "buisine" comme dans la chanson de Roland.
Une autre version donne, "Vesica", donne vèze et vesse.
Rabelais mentionne, dans son Quart Livre en 1552, que "Les vezes", bousines et cornemuses sonnèrent harmonieusement.
Une nouvelle piste viendrait des essences utilisées, particulièrement le buis, en breton "Beuz", donnant "Veuz" avec la mutation des consonnes initiales propre à la langue bretonne.
C'est en 1260 que les premières représentations de cornemuses apparaissent dans le manuscrit des "Cantigas de Santa Maria" (Source iconographique pour instruments médiévaux).
En 1508, dans le livre d’heures d’Anne de Bretagne, nous retrouvons une cornemuse aux dimensions identiques à la veuze.
"Out' foué, o l'avé de vèze.
T'ch'était dos espèces de binious.
O l'avé in' sac, pis dos fiutes qu'étiant fic'laïes dessus ... ".
Voilà la description qu'en faisaient nos ancêtres.
De la famille des cornemuses, c'est un instrument à vent formé de la réunion de plusieurs tuyaux sonores :
- 1 tuyau mélodique à trous appelé chez nous "ohalumia" ou "pibole",
- 1 tuyau d'accompagnement ou bourdon : "Le Veuzon".
Ces tuyaux reliés à un sac de peau gonflé d'air qui fait office de soufflerie : "La bouzine".
Le joueur de veuze étant : "le veuzou".
Ces différents termes vous rappelleront certainement des expressions du parler vendéen.
Par exemple, on dira facilement de quelque chose qui fait du bruit :
"Arrêt' ta bouzine"
ou bien encore :
"O veuzoune" en entendant le bourdonnement d'une guêpe.
L'isopar *
L'Isopar fluide est caractérisé comme un hydrocarbure de synthèse produit à partir de solvant isoparaffinique pétrole à base de matières premières qui sont traités par l'hydrogène en présence d'un catalyseur pour produire un produit qui contient de très faibles niveaux d'hydrocarbures aromatiques et est essentiellement inodore et incolore.
L'Isopar liquide est généralement reconnu comme ayant une faible toxicité aiguë et chronique.
ISOPAR a des flammes ISOPARAFINE capables de monter a 10 mètres de haut sans retomber, se combustibles et ni plus ni moins du pétrole type ZYBRO.
Fait partie des solvants isoparaffiniques, solvants de synthèse sans aromatiques.
Sa vitesse d’évaporation plus rapide que les autres solvants de la même catégorie.
La température de combustion atteint 900 °C.
Pour se donner une idée, voici la température d’une flamme de bougie.
Plus on s'approche de l'extérieur de la flamme, plus l'oxygène est présent et plus la température est haute.
La base d’une flamme qui est transparente = env. 600°C
Au dessus de la mèche, la couleur orange = env. 800°C
Au dessus de la flamme = env. 1200°C